Conversation avec une survivante de l’holocauste, âgée de 108 ans, Alice Herz Sommer.
Interview réalisée par Anthony Robbins – Traduction: Bernard de Bézenac
Interview réalisée par Anthony Robbins – Traduction: Bernard de Bézenac
« Je suis un être humain » a été tourné en une journée. Ont suivi environ 8h de montage et post-production. Autant dire que c´est très peu…Carlos Chapman et Estelle Pesquier ont réalisé cette vidéo aussi rapidement afin de pouvoir la publier au moins 3 jours avant la fin du concours « Je suis un héros ».
Dans le cadre de mon projet de livre, j’ai demandé à quelques illustrateurs de faire une proposition pour le personnage du Paladin.
La demande était la suivante :
• C’est un homme
• Il a entre 35 et 45 ans.
• C’est le personnage qui réalise sa quête, ses objectifs.
• Habillé simplement, avec des tissus de couleurs pastels. Certaines pièces de son équipement sont renforcées avec des pièces de cuirs et des lanières.
• Il est équipé d’une épée dans un fourreau et d’un bouclier en bois.
• Son blason (ou sa bannière) est symbolisé par un Dragon
• Il est solidement planté sur ses deux jambes.
• Il est prêt à se battre pour défendre les plus faibles ou une cause juste.
• Il n’est pas agressif.
• Il est optimiste.
Avant d’aller plus loin et de leur demander de développer les personnages au complet, pouvez-vous votez pour votre style préféré et éventuellement noter ce que vous changeriez dans les différentes propositions ci-dessous ?
Merci de vos précieuses contributions qui affinent et font avancer mon projet !
PS : le petites images sont cliquables pour les agrandir
C’est clair, il faut s’accrocher ! L’oeuvre de Jung est difficile à lire, pleine d’idées déroutantes, plongeant dans la psychologie, la spiritualité, voyageant de l’alchimie à l’astrologie, du bouddhisme à la kabbale, de la Bible aux contes de Grimm. Mais l’enjeu en vaut la peine. Aux antipodes du pessimisme de Freud, pour qui l’être humain est destiné au déchirement intérieur permanent, Jung propose un chemin vers la positivité et l’harmonie, destinations paradisiaques en temps de crise, où nous avons envie de rêver, d’échapper aux dures lois de la raison, de nous dire que le vrai pouvoir est celui de l’esprit. Jung répond parfaitement à ces besoins. D’où l’utilité de le découvrir ou de le redécouvrir aujourd’hui.
Pour suivre Jung, nous devons abandonner notre bon vieux matérialisme et nous ouvrir à la poésie, à l’imaginaire, à ce qui nous dépasse. Pour lui, en effet, pas de vie réussie sans nourriture spirituelle et bonnes relations avec tous ces mystères qui échappent à la raison. « Corps et esprit ne sont pour moi que des aspects de la réalité psychique, écrit-il. Le corps est aussi métaphysique que l’esprit. » Mieux : « La psyché n’est pas entièrement soumise à l’espace et au temps, déclarait- il en 1959 au journaliste anglais John Freeman. On peut avoir des rêves ou des visions du futur. Seule l’ignorance dénie ces faits. » Pour Jung, l’intuition, cette « fonction non rationnelle de la psyché », est aussi importante que la pensée rationnelle, l’émotion ou la sensation.
Contrairement à Freud, Jung affirme que nous possédons deux inconscients : l’un individuel, où parlent nos névroses et conflits personnels ; et l’autre collectif, qui nous raconte une histoire universelle, peuplée de héros (OEdipe, Icare ou… la Belle au bois dormant) et de symboles communs à toute l’humanité. Dans une optique jungienne, en rêvant d’une pomme, je me retrouve aux côtés d’Adam et Ève, je revis symboliquement le mythe fondateur du paradis terrestre. Transmis de génération en génération, réalité psychique mais aussi biologique, cellulaire, l’inconscient collectif est le dépositaire de toutes les réactions typiques de l’espèce humaine : la peur, l’intuition d’un danger, l’amour, l’angoisse de la mort. Nous sommes là dans un univers bien différent de la vie intérieure selon Freud, avec ses obsessions érotiques, scatologiques, inavouables. « Il est plus agréable et valorisant de se voir plongé dans un inconscient peuplé de divinités que dans l’univers de fantasmes sexuels jaillis du cerveau reptilien », remarque Jean-Jacques Antier, auteur d’une excellente biographie de Jung. En tout cas, en ces temps de désenchantement, cela fait du bien.
Selon Jung, le but d’une vie est de passer de l’ego, notre petite personne, au grand soi grâce au « processus d’individuation ». Il s’agit d’un cheminement intérieur par lequel nous allons tenter de devenir le plus conscient possible, afin de nous « autoengendrer » en tant qu’individu particulier, homme parmi les hommes, mais unique. Une seconde naissance, en quelque sorte. Pour Jung, l’enjeu est d’importance. Car « devenir conscient de son soi, c’est permettre à l’univers de devenir conscient de lui-même ». « En général, l’individuation devient possible après la crise de la cinquantaine, dans la deuxième moitié de la vie, la première étant accaparé par l’ego suractif. » Pour y parvenir, nous devons nous confronter avec notre ombre (cette part dont nous avons honte), avec notre persona (notre image sociale), avec notre anima et notre animus. Nous devons cesser de nous mentir et de rejeter ce qui nous dérange en nous. Nous ne réussirons jamais totalement, bien sûr, l’essentiel est d’essayer. Plus qu’un grand ménage, c’est un eff ort d’intégration et d’assimilation des différents aspects de notre personnalité que nous devons entreprendre. Mais, prévient Jung, nous ne sommes pas des anges : « Une vie sous le signe de l’harmonie totale », sans aspérités, serait « très ennuyeuse et déprimante ». Pire, « inhumaine ». Ce trajet initiatique peut passer par un travail sur soi, l’analyse des rêves, la méditation, la prière, la contemplation, l’écriture… Cette démarche est mystique, idéaliste, naïve même, mais la rationalité pure et dure rend-elle plus heureux ? Fournit-elle des réponses à nos questions existentielles : comment être plus heureux, surmonter la souff rance, aimer, être aimé, faire face à la maladie, le deuil, la mort ? En 1946, à un vieil ami qui lui demandait quelle attitude adopter pour achever son existence dignement, Jung répondit : « Vivre sa vie. »
Vivre, c’est tout.
Article original de Isabelle Taubes sur Psychologies.com : Source : http://www.psychologies.com/Therapies/Psychanalyse/Inconscient/Articles-et-Dossiers/Pourquoi-Jung-est-a-la-mode/4Un-inconscient-peuple-de-divinites
Dans le cadre de mon projet de livre, j’ai demandé à quelques illustrateurs de faire une proposition pour le personnage de l’Alchimiste.
La demande était la suivante :
Avant d’aller plus loin et de leur demander de développer les personnages au complet, pouvez-vous votez pour votre style préféré et éventuellement noter ce que vous changeriez dans les différentes propositions ci-dessous ?
Merci de vos précieuses contributions qui affinent et font avancer le projet !
PS : le petites images sont cliquables pour les agrandir.
Les hommes, dit le petit prince, ils s’enfournent dans les rapides, mais ils ne savent plus ce qu’ils cherchent. Alors ils s’agitent et tournent en rond… – Antoine de Saint-Exupéry
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Sans émotions, il est impossible de transformer les ténèbres en lumière et l’apathie en mouvement.
Carl Gustav Jung
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Tout ce que vous avez à décider, c’est quoi faire du temps qui vous est imparti.
Tolkien
Dites-moi ! Lesquelles préférez-vous ? Quels sont les « plus » et les « moins » de ces différentes propositions ?